Victoria est née à York d’un père horloger et d’une mère issue de la petite bourgeoisie. Ils n’étaient pas très riches, plutôt modeste, mais les montres de son père prirent de plus en plus de valeurs jusqu’à faire grandir sa fortune personnelle. Montre. Horloge. Et autres mécanismes furent alors signer Sheffield du Yorkshire jusqu’à Londres. Malheureusement, à l’aube de c’est huit ans, un incendie se propagea dans la demeure des Sheffield. Une bougie mal éteinte, un feu de cheminée trop intense, qu’importe, la maison brula, et elle fut la seule à s’en sortir vivante. Elle fut alors recueillie par des un ami de sa famille : Theodore Aubray, et après quelques recherche, on ne lui trouva pas de famille souhaitant s’occuper d’elle. L’homme se porta alors volontaire, et un juge le désigna alors comme étant son tuteur.
Victoria fut alors considérée comme une enfant de la famille, protégée par trois garçons, presque trois frères qu’elle ne considérait pas vraiment comme tel. En vieillissant, elle prit conscience qu’elle voyait en l’un d’entre eux peut être un peu plus qu’un ami, et elle fut terriblement blessé de la décision qu’il prit. Celle de partir loin d’elle pour écrire une autre histoire.
Puis un jour Bartholomew est revenu d’Amérique, elle en fut très heureuse, et particulièrement amusée de le voir revenir si différent. Si riche, et tellement mieux que ce qu’elle avait pu imaginer. Bien mieux que dans ces souvenirs. Alors elle tenta de la séduire, d’attirer son attention, mais il n’y avait rien à faire, lui continuait de la voir comme un membre de sa famille… Et il disparut une nouvelle fois de sa vie.
Puis est arrivée l’âge de la majorité, et elle commença à recevoir l’argent qu’avaient gagné l’argent. Son héritage déjà conséquent qui n’avait cessé de grossir lui permettant alors de faire ce qu’elle souhaitait, alors elle fit un détour par Londres, se mêlant à la bourgeoisie… Jusqu’à lui vienne l’idée de frapper la porte de Bartholomew Aubray et de s’imposer.